Union Nationale des Combattants de Côte d'Or

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La médaille du Djébel

L’Union nationale des combattants récompense les membres de l’Association qui ont fait preuve de mérites particuliers ou de services éclatants au sein de l’UNC en vue de son épanouissement en leur décernant une médaille associative, accompagnée d’un diplôme,  « la Médaille du Djebel ».

 

Cette Médaille peut également être décernée à des personnalités non–membres de l’Association à l’occasion de services exceptionnels rendus à l’UNC ou à la France.

Une telle décision est prise à l’unanimité du conseil d’administration.

 

Médaille Djébel Or.jpgLa Médaille du Djebel n’est jamais un droit ! Elle témoigne de l’estime portée à un ancien combattant par ses compagnons d’armes, d’où sa très grande valeur symbolique.


Son retrait peut être prononcé par la commission d’honneur et de discipline de l’Association.

C’est une commission nationale désignée par le conseil d’administration qui attribue cette distinction. Les décisions sont prises par un vote à la majorité simple. Elles sont sans appel.

 

Médaille du Djebel  est une médaille qui se compose d’une Croix de Malte blanche surmontée d’une couronne de lauriers de bronze, d’argent ou d’or.

Au centre de la Médaille une main de fatma bleue et entre les branches de la Médaille, quatre croissants rouges. Le ruban est bleu bordé de rouge

 

Il existe une seule médaille mais cinq degrés :

  • La Médaille de Bronze.
  • La Médaille d’Argent dont les palmes sont d’argent et dont le ruban porte une rosette.
  • La Médaille de Vermeil dont les palmes sont d’argent et dont le ruban porte une rosette sur canapé argent.
  • La Médaille d’Or dont les palmes sont dorées et dont le ruban porte une rosette sur canapé or.
  • La Médaille de diamant dont les palmes sont dorées et dont le ruban porte une palme dorée.

 
U
n candidat à cette distinction associative ne peut être présenté que par un titulaire de la médaille du Djebel. En outre le demandeur ne peut proposer le postulant à un degré supérieur dans la hiérarchie de la médaille s’il n’est lui-même titulaire de ce degré. Dans le cas contraire, la proposition doit être soumise à la commission d’attribution.

 

Sauf cas exceptionnels, les demandes d’attribution sont soumises aux critères suivants :

  • Pour la Médaille de Bronze : 3 ans de présence minimum dans l’association
  • Pour la Médaille d’Argent : 3 ans minimum de Médaille de Bronze
  • Pour la Médaille de Vermeil : 3 ans minimum de Médaille d’Argent
  • Pour la Médaille d’Or : 3 ans minimum de Médaille de Vermeil
  • Pour la Médaille de diamant : 10 ans minimum de Médaille d’Or

 

Médaille Djébel Argent.jpgSon attribution n’a rien à voir avec le niveau occupé dans la hiérarchie de l’association.

 

La commission d’attribution se réunit deux fois par an (mars et octobre) pour délibérer sur les Médailles de Vermeil, d’Or et de Diamant. En dehors de ces dates, aucune attribution anticipée ne peut avoir lieu. Toutefois elle peut être attribuée à titre posthume ou à l’occasion d’événements exceptionnels sur décision du conseil d’administration.

 

Les autres Médailles sont, quant à elles, attribuées par les commissions départementales suivant des quotas annuels fixés par le conseil d’administration.

 

Les propositions d’attributions, revêtues de la signature du président départemental ou du président de la commission départementale, doivent être adressées au siège de l’association pour le 1er mars et le 21 septembre de chaque année.

 

Cette médaille n’est pas officielle et ne peut être décernée et portée qu’à l’occasion de cérémonies ou de manifestations de l’Association.

Elle ne comporte ni ruban, ni rosette destinés à la boutonnière.

Elle doit être impérativement portée à droite.

 

Seul un membre qui possède cette Médaille à un degré égal ou supérieur au récipiendaire peut remettre cette médaille et ce, en dehors du domaine public.


17/08/2015
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L'Union Sacrée

C’est la formule qui a présidé à notre fondation et autour de laquelle 200.000 camarades se sont groupés déjà.

Elle signifie que les français de la même France ont compris qu’ils avaient un « nom de famille » et des « prénoms » et que, si entre fils de la même famille ils avaient le droit de discuter sur la répartition équitable du patrimoine familial, ils n’entendaient pas qu’un étranger vint se mêler à leurs discussions, et quand en août 1914 l’Allemagne a voulu profiter de nos discordes, trop fréquentes, hélas ! pour nous attaquer, elle a trouvé devant elle un peuple debout et uni qui a su défendre et conserver l’intégralité de son patrimoine moral et matériel.

Voilà la première leçon qui se dégage de la Grande Guerre : l’union sacrée a sauvé le pays.

Cette même formule doit aussi le régénérer.

Or, il apparaît que des inégalités criantes, voire même des injustices profondes, s’y opposent. En effet, le combattant à qui l’on avait fait tant de belles promesses s’est retrouvé, lors de sa libération, devant un dépôt démobilisateur qui lui a offert un vêtement sordide ou, en échange, une prime ridicule de 52 francs !!!

L’artisan, le commerçant, ont retrouvé une boutique déserte, un matériel détérioré, et pas le moindre crédit.

L’employé, l’ouvrier, n’ont pas toujours pu reprendre leurs emplois d’avant-guerre ou dans des conditions telles que le renchérissement de la vie ne leur permettait pas de vivre.

On a vu des mutilés offrant vainement ce qui leur restait de forces pour obtenir le salaire d’appoint dont ils ont besoin.

On a vu les veuves et les orphelins de nos héros plongés dans la plus noire misère.

On a vu des captifs de retour d’Allemagne obligés d’avoir recours pour vivre à la charité publique ou privée.

On a vu et on voit encore chaque jour des combattants qui ne mangent pas à leur faim et qui ne savent pas où ils dormiront le soir.

La prime de démobilisation devait parer aux premiers besoins de la rentrée dans la vie civile : combien, démobilisés depuis plus de six mois, attendent encore la prime fixe de 250 francs ! C’est une sinistre plaisanterie !

De même, les mutilés et les veuves attendent le relèvement effectif de leurs pensions dérisoires : pécules, rappels de solde, indemnités diverses, rien ne vient qu’avec lenteur.

La Loi n’a pas encore réglé la question de crédit aux petits commerçants et artisans démobilisés, qui ne savent pas non plus comment s’opérera le règlement de leurs dettes d’avant-guerre.

Nous passons n’ayant pas à énumérer ici toutes les revendications légitimes et pressantes des mutilés, des réformés, des prisonniers de guerre, des veuves et des familles de ceux qui sont morts, de tous les anciens combattants, de leurs ayants droit, héros et victimes de la guerre.

Nous ne méconnaissons pas ici les difficultés de la transition de l’état de guerre à l’état de paix et nous ne demandons qu’à aider les pouvoirs publics à les résoudre, mais, quand même, nous constatons qu’autour de nous on mange, on s’habille, on se loge, on s’amuse, quand on a de l’argent, et il se trouve que ce sont ceux-là, qui précisément, ont sauvé la fortune publique, qui manquent de l’argent nécessaire pour assurer leur subsistance.

Voilà la seconde leçon de la guerre : elle semblerait vouloir prouver que les combattants en pratiquant l’Union Sacrée ont conclu un marché de dupes. Cela ne peut pas être, cela ne sera pas !

Et qu’on ne prenne pas cette affirmation comme une menace à l’ordre public. Le combattant connaît trop les horreurs de la guerre pour replonger le pays qu’il a sauvé dans la lutte civile. Ce qu’il veut, c’est reprendre la place à laquelle il a droit dans la grande famille française et ce minimum, sur lequel nous aurons l’occasion de revenir, il saura l’exiger sans révolte et sans pose, mais avec toute la vigueur dont il est capable !

C’est pour représenter les droits des combattants que l’U.N.C. a été créée. Elle accepte sans son sein tous ceux qui ont pris part aux combats ou ont été exposés à leurs dangers par leurs services.

Son organisation très souple, son respect de l’autonomie lui permettent de grouper les associations locales ou régionales dont la voix serait trop faible pour se faire entendre et qui ne pourraient songer à fonder les institutions d’entraide puissantes qui peuvent seules être utiles aux combattants.

L’U.N.C. a organisé à Paris et déjà dans de nombreuses villes de province des services de placement, de consultations juridiques et médicales.

Enfin elle ne veut pas cantonner son action aux seuls services d’intérêt immédiat mais la faire déborder sur le terrain social et coopérer ainsi au relèvement économique et au progrès social de la nation. Elle entend favoriser l’organisation professionnelle, le prêt, la mutualité, la coopération et l’accession à la petite propriété.

Tel est le champ de notre activité, immense quand on le considère dans son ensemble mais bien réduit tout de même si dans chaque région nous pouvons compter sur le dévouement de nos frères d’armes et sur la générosité de tous ceux qui ont apprécié l’étendue de nos sacrifices.

Clemenceau.jpgLe soir du 28 juin, le président du Conseil* en pénétrant dans le Palais de Versailles est allé spontanément serrer les mains des camarades qui représentaient les combattants à cette cérémonie à jamais mémorable. L’illustre vieillard* qui connait les angoisses de la bataille et le prix du sang versé a fait ce jour-là un geste que la France généreuse doit comprendre !

Elle doit aux combattants le prix d’une victoire durement acquise. Elle doit les aider à s’aider eux-mêmes. Elle doit en un mot faire confiance, pour régénérer le pays, à ceux qui l’ont sauvé.

En cette journée du 28 juin, dont nous n’apercevons pas encore la grandeur ni l’importance historique, la Paix, la bienfaisante Paix est descendue sur notre vieux monde encore étourdi des bruits et des horreurs de la lutte et d’une voix encore mal assurée elle a dit les grands espoirs qu’elle apportait mais qu’il nous appartient de réaliser.

Or comment pourrions-nous songer à supprimer les luttes entre les peuples si nous ne commençons à bannir les luttes intérieures qui trop souvent ont affaibli notre chère patrie ?

La Société des Nations ne saurait être une cohue, une confusion de nations divisées elles-mêmes et il se trouve que si nous voulons la paix générale il faut d’abord que la paix règne chez nous.

Pratiquons donc cette Union Sacrée qui a fait ses preuves, qu’elle que soit notre confession, notre opinion ou notre classe, soyons Français par-dessus tout puisque c’est encore le meilleur moyen de servir la cause de l’Humanité.

Telle est l’ultime leçon que les combattants veulent tirer du premier jour de Paix.

 

* Georges CLEMENCEAU

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16/08/2015
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Le Mérite National

Général Catroux.jpgLa création de l’ordre national du Mérite résulte d’une large réforme du système des décorations engagée en 1958 par le grand chancelier de l’époque, le général Catroux, avec l’appui du général de Gaulle, dans une France en pleine modernisation.

 

Déjà fondateur de l’ordre de la Libération pendant la seconde guerre mondiale, le général de Gaulle s’est impliqué tout particulièrement dans la création de ce nouvel ordre et lui assigne quatre objectifs :

  • Consolider l’unité nationale, cinq ans après la fondation de la Vème République.
  • Revaloriser la Légion d’honneur qui souffrait d’une inflation du nombre des décorés à la suite des grands conflits du XXème siècle.
  • Harmoniser et simplifier les distinctions honorifiques. Il était urgent de stopper la multiplication de décorations diverses et variées, lancées par les ministères et qui atteignaient le chiffre record de 70 décorations et 20 ordres.
  • Hiérarchiser l’échelle des mérites avec une nouvelle distinction, complémentaire, réservée aux mérites réels reconnus plus tôt. Dès les premières promotions, des mérites très éclectiques et des carrières précoces ont été salués, illustrant une philosophie d’attribution jamais démentie à ce jour.

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Le décret de création de l’ordre national du Mérite a la particularité de porter les signatures de trois présidents de la République française. Il est signé du président Charles de Gaulle, de Georges Pompidou alors Premier ministre et de Valéry Giscard d'Estaing, ministre des Finances et de l'Économie de l'époque.

 

L’ordre comprend trois grades : chevalier, officier et commandeur ainsi que deux dignités : grand officier et grand-croix.

 

La nomination dans l'ordre national du Mérite peut se faire par proposition ministérielle ainsi que par la procédure d'initiative citoyenne.

 

Pour obtenir le ruban bleu, la durée des services demandée est moins longue (10 ans au lieu de 20 ans pour la Légion d’honneur), avec une triple vocation :

 

  • Traduire le dynamisme de la société.

L’ordre national du Mérite a vocation à accueillir des générations plus jeunes dont la valeur n’attend pas le nombre des années. Il est chargé de stimuler les énergies individuelles, de fédérer toutes les volontés et de récompenser l’innovation et la participation au rayonnement de la France.

  • Donner valeur d’exemple.

L’ordre est conçu comme une forme d’émulation pour que chacun donne le meilleur de lui-même et que la communauté des récipiendaires dans son ensemble représente l’esprit civique français.

  • Reconnaître la diversité.

L’ordre du Mérite incarne enfin la diversité de la société française, ses cultures, ses origines sociales, ses nouveaux secteurs économiques (nouvelles technologies, internet, télécoms, etc.). Il reconnaît l’engagement de la jeune génération.

 

Comme pour la Légion d’honneur, l’ordre national du Mérite garantit une véritable égalité d’accès, afin que tout citoyen méritant, quelle que soit sa place dans la société, puisse être reconnu par la nation.

 

Ses critères d’attribution

 

  • Avoir rendu des « services distingués » militaires ou civils.

Autrement dit, des actes de dévouement, de bravoure, de générosité, de réels mérites ou un engagement mesurable au service des autres ou de la France, ne présentant pas encore les qualifications suffisantes pour accéder à la Légion d’honneur.

  • Pouvoir justifier d’une activité de 10 ans minimum
  • L’accession à un grade supérieur se fait par la preuve de nouveaux mérites
  • Il faut une durée minimale de 5 ans de plus pour être promu officier, 3 ans pour le grade de commandeur, 3 ans pour être élevé à la dignité de grand officier et de nouveau 3 ans pour grand-croix.

L’ordre national du Mérite a sa propre organisation, sa discipline et sa hiérarchie sont calquées sur celle de la Légion d’honneur.

 

Il est doté d’un conseil de l’ordre spécifique, de 11 membres, présidé par le grand chancelier de la Légion d’honneur, chancelier de l'ordre national du Mérite, sous l’autorité du grand maître, le président de la République. Le conseil de l’ordre a la responsabilité d’examen, de délibération et de sanction.

 

La procédure d’attribution d’un grade dans l’ordre national du Mérite est similaire à celle de la Légion d’honneur.

 

Les promotions annuelles

  • Deux promotions civiles : 15 mai et 15 novembre
  • Deux promotions à titre militaire : 1er mai, 1er novembre

 

L'insigne, qui fut créé par le sculpteur-médailleur français Max LEOGNANY, est une étoile à six branches doubles, émaillées de bleu, en argent pour les chevaliers, en vermeil pour les officiers. Le centre de l'étoile est entouré de feuilles de laurier entrecroisées et représente l'effigie de la République, entourée d'un cercle portant les mots : République française. Elle est surmontée d'une couronne d'attache de feuilles de chêne entrecroisées, en argent pour les chevaliers, en vermeil pour les officiers. Le revers porte deux drapeaux tricolores entrecroisés, entourés d'un cercle portant l'inscription : Ordre national du Mérite et la date de fondation de l'ordre : 3 décembre 1963. L'insigne est suspendu à un ruban en moire bleu de France.

Il comporte une rosette pour les officiers.

L'insigne des commandeurs est suspendu à une cravate.

Les grands officiers portent la croix d'officier mais aussi une plaque sur le côté droit de la poitrine. Les grands-croix portent la même plaque, mais en vermeil, sur le côté gauche de la poitrine. La croix se porte en écharpe, suspendue à un large ruban bleu qui passe sur l'épaule droite.

 

L’ordre national du Mérite en chiffres

  • L’ordre compte aujourd’hui 187.000 membres
  • 306.000 personnes ont été nommées ou promues depuis la création de l’ordre en 1963
  • 4.600 personnes reçoivent l’insigne chaque année
  • L’âge d’entrée moyen est de 54 ans
  • 57% des membres sont décorés à titre civil, 43% à titre militaire
  • 50% de femmes (parité appliquée pour les promotions civiles)
  • 80% des décorés sont des chevaliers
  • 14% des dossiers sont écartés par le conseil de l’ordre

 

Mérite National grade.jpg

 


15/08/2015
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La Voix du Combattant N° 9 du 14 septembre 1919

Montbard – Dimanche 24 août, à 2 heures, salle de l’hôtel de ville, a eu lieu une très brillante réunion de l’U.N.C. La salle était bondée de poilus de Montbard et des environs. Au bureau, MM. Boissard et Canat, promoteurs de la réunion. M. Boissard présenta M. Roux qui doit parler de l’Union nationale des combattants au point de vue général, puis M. Champfrault, qui doit entrer dans les détails pratiques et expliquer le mécanisme de l’Association.

Nos deux camarades ont été vivement applaudis et un très grand nombre de poilus vinrent se faire inscrire à l’issue de la réunion.

La déclaration suivante a été lue en fin de séance au nom du comité départemental de l’U.N.C. :

Au moment où la période électorale va s’ouvrir, le comité de l’U.N.C., groupement de la Côte d’Or, croit de son devoir de faire la déclaration suivante :

1° L’U.N.C. ne prendra jamais position sur le terrain électoral, ni pour présenter, ni pour soutenir, ni pour combattre un candidat.

2° L’U.N.C. s’interdit d’adhérer à aucun parti politique.

3° Elle ne peut pas laisser saboter la victoire. Tout ce qu’on attend de l’U.N.C., ce sont des déclarations générales destinées à créer une mentalité patriotique.

4° En fait, les idées directives de l’U.N.C. sont : l’union avec tout ce qu’elle implique de sacrifice des idées et des goûts personnels de chacun ; la grandeur de la France à laquelle il faut travailler surtout en la faisant connaître et aimer.

Aucune candidature ou intervention dans une réunion électorale d’un membre de l’U.N.C. ne pourra revêtir le caractère d’une investiture officielle de l’U.N.C.

La liberté la plus complète est laissée à chacun de nos membres pour remplir, selon leur goût ou préférence personnelle, leur devoir de citoyen.

Pour éviter toute équivoque, le comité demande aux sections de suspendre toute propagande par réunion publique pendant la période électorale.

Le comité, composé de neuf membres pour Montbard et de six membres pour les communes du canton, a, à l’issue de la réunion, élu son bureau : président, M. Barbe-Gabot ; vice-président, commandant Boissard ; secrétaire, M. Galmiche.

 

Plombières-les-Dijon – Le samedi 23 août avait lieu dans la salle de la mairie une réunion publique à l’effet de constituer une section de l’U.N.C.

Après une conférence émotionnante de notre ami Champfrault, un bureau provisoire fut nommé pour organiser définitivement la section de Plombières, qui compte déjà de nombreux adhérents.

Le bureau provisoire est ainsi composé : Président, Paul Ratel ; secrétaire, Albert Lesvignes ; adjoints, Champy et Chenevoy.

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14/08/2015
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CONGRÈS DÉPARTEMENTAL 2015

Bureau AG.jpgLe congrès départemental 2015 a eu lieu le samedi 18 avril à l'Espace Marie-Thérèse Eyquem de Talant sous la présidence de Jean-Pierre DECOMBARD, président départemental et de René POUPON, président de la section de Talant.

Après les mots d'accueil des présidents, Danielle DECOMBARD a présenté le rapport d'activité et Louis AYMES le rapport financier, validé par Gérard TRÉMOULET, contrôleur aux comptes.

Ensuite, Jean-Pierre DECOMBARD a présenté le rapport moral.

Les rapports ont été approuvés à l'unanimité et quitus a été donné au bureau.

Le congrès s'est poursuivi en présence des personnalités suivantes :

  • Patricia GOURMAND, conseillère départementale représentant François SAUVADET, président du Conseil Départemental,
  • Élisabeth REVEL, adjointe déléguée aux anciens combattants et à la mémoire représentant Alain MILLOT, Maire de Dijon,
  • Gilbert MENUT, Maire de Talant.

Marius JACQUIN et Jean-Pierre DECOMBARD ont répondu, par la suite, aux quelques questions de l'assemblée.

MonumentMortsTalant.jpgEn présence des nombreux drapeaux des sections sous la direction de Georges CHARLUT, et sous la présidence de Tiphaine PINAULT, directrice de cabinet, représentant le Préfet de Côte d'Or, les dépôts de gerbe ont eu lieu devant une importante assemblée dont les représentants du Groupement de la Gendarmerie, de la Police Nationale et du 511ème Régiment du Train d'Auxonne.

Un repas fraternel avec animation musicale et tombola a réuni l'ensemble des congressistes pour la suite de la journée.

Un grand merci à René POUPON et Roger CHAPOTOT pour l'organisation de cette journée.

Merci également à Marcel CHÉRY, président de la section d'Auxonne, pour les photos.


10/08/2015
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